Poème pécuniaire de la première journée d'été
Poème
pécuniaire de la première journée d'été
Au
milieu de ma nuit, tu me réjouis
Au
dedans de mon puits, tu m'as égaillé
Quand
je porte ton cœur, tu m'élargis
Quand
je porte ta croix, tu me glorifies
Oh
quelle douleur ne me libère
De
la passion de l'occupation pécuniaire ?
Alors
que ma gibecière regorge
de
Troubadouriante farine d'orge ?
En
douleur de l'occulte passion en pénurie,
Quelle
action ne me libère pas de la Sibérie ?
Avec
des brans de scie moelleusement mouillés
Plantez-moi
dans votre berceau ostracisé
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